Nouveaux récits, web’ et quoi encore ?
-
Comment organiser la parole ? Comment la donner ? Comment « je » devient audible ? Parlons-en avec deux webdoc’ en compagnie de leurs concepteurs. Le Printemps en exil, réalisé par Massimiliano Minissale et Marie Blandin, rend compte de la réalité des réfugiés tunisiens arrivés en masse à Paris suite à la chute de Ben Ali. Un été à Alger propose à quatre réalisateurs algérois de porter un regard sur leur ville. Fictions, documentaires, témoignages ?
À 20h, poursuivez avec les réalisateurs du Printemps en exil pour une séance découverte de leur plateforme participative.organisé en partenariat avec Narrative et Nicolas Rouilleault (House on fire)
-
rencontre avec les réalisateurs
animé par Arnaud Colinart, AGAT Films & CieLe Printemps en exil
un projet de Massimiliano Minissale et Marie Blandin
en association avec FrameOff
réalisation Massimiliano Minissale
coréalisation Italie et Tunisie Giuseppe Spina, Francesco Valvo
production Nicolas Rouilleault, Philippe Dijon de Monteton, Vincent Wang / House on fire
coproduction Frame off
avec la participation du Centre National du Cinéma et de l’image animée et de Produzioni dal basso
avec la participation de Mediapart
avec le soutien de Migreurop et de la CimadeUn été à Alger
production narrative avec Une chambre a soi
avec la participation de TV5 Monde, le soutien du CNC
diffusé en ligne par TV5 Monde et Algérie Focus en partenariat avec Libération et Dailymotion -
samedi 11 janvier > 18h
entrée libre, réservation conseillée
Dans le cadre de
tribudom_3.jpg
Beaux parleurs
Loin du brouhaha d’une foule médiatique inaudible, le « numérique », objet domestique non identifié et animal sauvage, pousse les murs et offre à l’individu de sortir du troupeau. Comme une nécessité impériale, la parole est prise, volée, rendue, offerte… elle prend tout ce qui passe. À partager sa vision du monde, l’individu y trouverait une place et un sens.
Étape de notre chantier numérique, Beaux parleurs donne toute leur place à ces nouveaux récits. Découvrez ces conteurs, ces reporters, ces musiciens, ces autobiographes qui ont en commun l’urgence de la parole.