samedi 17 octobre 2015
Débat  /  Rencontre

La souveraineté populaire, hier et aujourd'hui

Avec Les Amis de l'Humanité
  • Victor Hugo disait que le peuple est le bras armé de la conscience. Sophie Wahnich nous dit que « les émotions de la douleur à la colère sont déposées par le peuple auprès des législateurs ». Charles Silvestre s’interroge dans son livre Je suis Jaurès sur le sens de la marche républicaine provoquée par le massacre de Charlie Hebdo et du résultat des élections deux mois plus tard : « qu’y a-t-il de profondément atteint dans la République ? ». D’hier à aujourd’hui, en quoi consiste donc la souveraineté populaire ? comment se manifeste-t-elle ?

  • avec Marcel Bozonnet, auteur et comédien du spectacle Soulèvement(s), Sophie Wahnich, historienne et directrice de recherches au Cnrs et Charles Silvestre, auteur de Je suis Jaurès

  • samedi 17 octobre -> 15h
    entrée libre, réservation conseillée

Dans le cadre de

9 -> 25 octobre 2015

SOULEVEMENT(S) - Journal de bord - Épisode 1

SOULEVEMENT(S) - Journal de bord -  Épisode 1
Théâtre

Soulèvement(s)

CRÉATION - Comment et pourquoi un peuple se soulève-t-il ? Comment des injustices, la famine, la pauvreté, la guerre donnent naissance à un mouvement collectif populaire qui vise à changer les lois ? Marcel Bozonnet, Valérie Dréville et Richard Dubelski donnent corps à la puissance de la parole, aux émotions, aux gestes, aux pensées. Loin d’une restitution historique, les textes, voix, récits font surgir une réflexion sur un monde dont ils ne veulent plus... que ce soit hier dans les faubourgs parisiens ou aujourd’hui à Tunis, à Alep, au Caire.

Dans la presse
« Sur le plateau de la Maison des métallos, Marcel Bozonnet, Richard Dubelski et Valérie Dréville créent – collectivement – Soulèvement(s) : une réflexion kaléidoscopique sur l’impulsion révolutionnaire. »
Entretien avec Marcel Bozonnet dans La Terrasse - 21 septembre 2015

« La mise en scène est chorégraphiée avec grâce, s’appliquant à témoigner de l’énergie et de la force des corps en mouvement, leur marche sous le flux de l’enthousiasme, de la colère, de la confrontation avec le risque et le danger, de la mise à distance de la peur de la mort. »
Véronique Hotte, blog hottellotheatre, 12 octobre 2015