Les instruments de l’Amapola Quartet conversent dans cette langue du tango d’où s’échappent les soupirs et soubresauts si sensuels qu’ils font de cette musique une fusion de passion et de peine. Maria Dolores avait, quant à elle, juré de ne plus jamais chanter le tango ! Alors est-ce l’écho du souvenir ou l’appel irrésistible du bandonéon qui a réveillé en elle le sang de cette musique qui coule dans ses veines ? D’airs susurrés en milongas des exilés, on avance sur les trottoirs de Buenos Aires, entre la poésie vivante et les colères effervescentes d’une femme qui fume en rêvant, d’un orchestre qui rêve en jouant…

Et EN PREMIÈRE PARTIE DU SPECTACLE :

Dans le cadre du projet Lever de Rideau, en collaboration avec le Centre Victor Gelez, Lucille Bougeat, une chanteuse lyrique de 12 ans, viendra en première partie du spectacle Amapoula Quartet y Maria Dolores pour une petite mise en bouche !
Lucille Bougeat est une chanteuse lyrique de 12 ans. Oui, à 12 ans seulement Lucile a déjà tout d’une grande. Récemment arrivée en finale de l’émission « Prodige », elle interprète un répertoire qui va du lyrique à la pop, aussi à l’aise sur Adèle ou Mika que sur Puccini ou Mozart et l’investissant d’une même intensité. Au conservatoire du 12e arrondissement depuis trois ans, elle poursuit son perfectionnement en se produisant de plus en plus en public.