rencontre
Rencontre avec l'équipe artistique du spectacle
jeudi 1er juin -> à l'issue de la représentation
Rencontre avec l'équipe artistique du spectacle
jeudi 1er juin -> à l'issue de la représentation
Les instruments de l’Amapola Quartet conversent dans cette langue du tango d’où s’échappent les soupirs et soubresauts si sensuels qu’ils font de cette musique une fusion de passion et de peine. Maria Dolores avait, quant à elle, juré de ne plus jamais chanter le tango ! Alors est-ce l’écho du souvenir ou l’appel irrésistible du bandonéon qui a réveillé en elle le sang de cette musique qui coule dans ses veines ? D’airs susurrés en milongas des exilés, on avance sur les trottoirs de Buenos Aires, entre la poésie vivante et les colères effervescentes d’une femme qui fume en rêvant, d’un orchestre qui rêve en jouant…
Le temps d’un coucher de soleil, une jeune femme nous parle de ses observations minutieuses de la nature, puis de ses réflexions politiques. Car elle, c’est Rosa Luxemburg, militante de l’aile gauche du socialisme allemand, pacifiste, plusieurs fois emprisonnée, cofondatrice du mouvement spartakiste. Elle est assassinée à Berlin en 1919 lors de la répression de la révolte spartakiste. Première pièce d’une toute jeune compagnie, ce spectacle ouvre la porte vers les joies du partage et de l’engagement.
Que reste-t-il aujourd’hui de l’épopée solidaire des Brigades Internationales, de leur exemple, des valeurs qu’elles portaient ? Dominique Gautier et Jean Ortiz sont allés à Albacète, base des Brigades, et ont enquêté dans cette Mancha profonde et sans limites, entre mémoire et « pacte du silence ». La projection est suivie d’une rencontre avec Dominique Gautier, Édouard Sill, doctorant à l'EPHE, et Claire Rol-Tanguy, secrétaire générale des Amis des Combattants en Espagne Républicaine.
Les élèves de la classe de CE2-CM1 de Karine Durand de l’école des Amandiers vous invitent à ouvrir le regard à l’occasion de l’exposition Apprends-moi à te voir ! Au-delà des apparences, guidés par la photographe HOm et les horizons qu’ouvre Le Petit Prince, ils livreront leur expérience sensible de ce qu’ils ressentent et voient avec le cœur..
En écho à Danse ton collège#3, les élèves de 4e A et B, du Collège Lucie et Raymond Aubrac, présenteront l’exposition Migrer, fruit de leur travail d’enquête, collages et reportages photos sur les migrants.
C’est une approche sensible du théâtre menée par Véronique Chiloux, comédienne, et Gabriel Debray, metteur en scène, en partenariat avec les enseignants, pour les enfants du quartier « Grand Belleville » (REP). Des auteurs, par leur écriture, nourrissent le travail réalisé par et avec les enfants. Le thème retenu cette année est la tolérance ; deux pièces écrites respectivement par Nathalie Lévy et Gérald Stehr seront présentées par les classes de Ce2 – Elodie Combier – et de Cm2 – Julie Reynaud – de l’école du 77 Boulevard de Belleville.
Depuis 3 ans, la Compagnie Farid’O s’est installée au Collège Lucie et Raymond Aubrac (Paris 11e) pour transmettre aux collégiens le goût de la création. Cette année, la classe de 5e C et Farid Ounchiouene ont travaillé sur le texte Eux c’est nous de Daniel Pennac. Ils se sont intéressés aux questions de migrations, à l’accueil et à la solidarité envers les réfugiés. Ils se sont nourris de ce travail pour écrire leur texte et le retranscrire sur scène, alliant danse hip hop et théâtre.
Dans le cadre du programme éducatif de la Ville de Paris « l’Art pour grandir ».
Cette exposition est issue d’un travail que mène la compagnie Diptyque Theatre tout au long de l’année avec des élèves dans seize lycées professionnels de l’Académie de Créteil. Ainsi se constitue la « Désirothèque », des mini-films documentaires réalisés par les élèves sur des professionnels exerçant des métiers, parfois rares et éloignés des jeunes. Les films seront accessibles sur des bornes Internet et des moniteurs. Parallèlement, le photographe et anthropologue Boris Svartzman mène un stage de photo avec des élèves du lycée Jean Renoir de Bondy sur la question du portrait. Aux antipodes du selfie, comment envisager l'autre ? Au cœur de l’exposition figure ainsi une vingtaine de portraits des jeunes réalisés par eux-mêmes. Et pour faire le lien, des mots des élèves écrits pendant les stages suspendus en l’air, tel un mobile géant. L’exposition est sous le marrainage de la photographe Eliane de Latour dont nous avons montré le travail à plusieurs reprises. Trois tables rondes éclaireront la question du travail artistique à l’école (détails à venir).
En première partie, le spectacle Poetrip4 est choregraphié par Claire Moineau de la compagnie Uzumé, alliant poésie, LSF (langue des signes française) et danse hip hop sur le thème « Royaumes d’outre-tombe ». Il réunit des danseurs amateurs sourds ou entendants qui ont notamment travaillé à la Maison des métallos lors d'un stage en février.
Puis, découvrez le résultat du travail mené par un groupe de collégiens de l’association sportive de danse hip hop du collège Lucie et Raymond Aubrac (11e) avec leur enseignante Lucile Denaes. Ils sont spectateurs assidus de la Maison tout au long de l'année, et danseurs lors de cette soirée !
En politique, les choses ne sont pas simples mais lorsqu’il s’agit de mouettes, les choses deviennent loufoques. Dans cette pièce de Pascal Nordmann mise en scène par Cyril Ripoll, le maire et ses conseillers mouettes ont financé avec quelques pots de vin, une médiathèque dont personne ne veut. Le conseil municipal démissionne alors et prend la fuite. Les élèves de l’atelier théâtre du collège Henri Barbusse d’Alfortville feront les mouettes pour un soir…
La non-résolution du conflit israélo-palestinien constitue l’une des sources majeures de troubles et d’instabilité dans cette région. L’iReMMO nous interpelle : « Aujourd'hui, non contentes d'avoir peuplé les Territoires occupés de 600 000 colons, la droite et l'extrême-droite israéliennes entendent annexer une partie de la Cisjordanie. Une telle politique unilatérale fragilise gravement la solution à deux États dont la communauté internationale vient de rappeler qu’elle est la seule solution pour établir une paix juste et durable entre les Palestiniens et les Israéliens. » Deux tables rondes dans le cadre de l'Université populaire « Paix et guerre au Moyen-Orient » de l'iReMMO feront le point.
Dirigés par Claire Caillard-Hayward et Berry Hayward, les Chorales et l’Orchestre de la Maison des métallos poursuivent leur exploration des répertoires anciens et contemporains, répertoires traditionnels et « classiques », toujours dans la perspective de la création d’un nouveau répertoire alliant écriture et improvisation. Les répertoires espagnols, arabo-andalous et contemporains sont mis à l’honneur, en collaboration avec des invités.
Après la création du spectacle Nous nous sommes rencontrés aux Métallos, Stéphane Schoukroun et la réalisatrice Frédérique Ribis ont proposé aux jeunes du centre Etienne Marcel de poursuivre l’aventure en réalisant un film sur la réussite. Les patients de l’hôpital de jour ont tenté de les mener au contraire sur les chemins de la vulnérabilité pour, peut-être un jour, en faire un projet de société. Le ratage, une étape nécessaire pour réussir ?
Dans le cadre du programme régional Culture à l’hôpital.
Entre mai et juin, la comédienne et danseuse de flamenco Yana Maizel a mené un atelier mêlant le flamenco et le théâtre avec un groupe constitué de personnes venant d’horizons divers (habitants du quartier, demandeurs d’asile ayant suivi un premier atelier Glottodrama® avec elle, amateurs...). Ensemble ils ont créé Le Fil de nos histoires. Une invitation à un voyage autour des histoires familiales, des déplacements, des exils et de la notion d’identité. Une invitation au voyage flamenco-théâtre. Vous découvrirez aussi au cours de cette soirée la présen-tation finale de deux ateliers Glottodrama® (méthode innovante d’enseignement du français par le théâtre) menés par notre partenaire Langues Plurielles avec des demandeurs d’emploi dans le secteur de l’Hôtellerie - Restauration.
COMPLET
Après trois ans d’activité auprès des rédactions pour améliorer la couverture des questions liées au genre et à l’orientation amoureuse, l’AJL, l’Association des Journalistes LGBT (Lesbiennes, Gay, Bi, Trans), lance avec les Métallos les OUT D'OR, une cérémonie de remise de prix pour récompenser les médias, personnalités et initiatives qui accroissent la visibilité des thématiques LGBT.
Madeleine Esther, infirmière en psychiatrie, auteure et metteure en scène, a mené pendant 6 ans à la Maison des métallos des ateliers avec des patients de la Policlinique. Trois ans après, elle revient avec la lecture de sa pièce de théâtre J’ai retrouvé mon grand-père dans un hôpital psychiatrique qui nous plonge au cœur d’une équipe soignante se débattant face à l’injonction hiérarchique de jeter un homme malade à la rue. La lecture d’extraits de la pièce sera suivie d’une rencontre avec l’auteure et Emmanuel Digonnet l’éditeur, et de la signature de son livre (éditions Digobar).